Quelle est l’histoire des porte-bonheurs ?
17/11/2015
Le sportif qui porte systématiquement le même maillot, l’étudiant qui utilise le stylo de son grand-père pour passer un examen, le joueur qui mise toujours sur le 19 rouge à la roulette… Tous ces comportements ont en commun un seul et même but : attirer la chance. Mais pourquoi dit-on d’une patte de lapin ou d’un trèfle à 4 feuilles qu’il ou elle porte chance ? Aujourd’hui nous avons décidé de nous pencher sur l’histoire des porte-bonheurs les plus connus !
- Le trèfle à quatre feuilles. Ce dernier est bien plus rare que son cousin le trèfle à trois feuilles. C’est ainsi, il existerait environ 1 quatre folioles sur 10 000 trèfles. Certains pensent qu’Ève aurait amené sur Terre cette espèce divine. Les druides quant à eux, lui prêtaient des vertus qui permettaient de percevoir la présence de démons.
- La patte de lapin. Ce talisman des superstitieux de la première heure est synonyme d’abondance de par la capacité impressionnante de reproduction de l’animal et question ! Au Moyen-Âge, elle protégeait du mauvais sort et des esprits malins. Par la suite, le christianisme a assimilé cet animal à une certaine lubricité païenne. Ce n’est qu’à la Renaissance que le lapin a repris ses lettres de noblesse.
- Le fer à cheval. Pourquoi cet objet aussi banal est connu pour attirer la chance ? La réponse est très simple : ce métal était un matériau très rare et donc (comme pour le trèfle à quatre feuilles) le fait d’en trouver par hasard était un vrai coup de chance !
Et n’oubliez pas, quel que soit votre porte-bonheur, l’essentiel est d’y croire ! Qui sait, vous gagnerez peut-être à l’EuroMillion. Si vous ne souhaitez pas uniquement miser sur la chance, optimisez vos possibilités de gagner avec Superchance100 ! Tentez votre chance au prochain tirage !