Archives par étiquette : grilles d’euromillions
Le résultat de la 8e édition Mes 5000 Rêves
Depuis 2016, SuperChance100 organise régulièrement un jeu concours pour récompenser ses clients les plus fidèles et aussi pour faire découvrir sa méthode de jeu en groupe à l’EuroMillions à de nouveaux compétiteurs. Faites-vous partie des sélectionnés cette fois-ci ?
200 grilles d’EuroMillions offertes pour tester la méthode SuperChance100
Le retour des beaux jours, la victoire de la France à la coupe du monde de football et bien d’autres événements ont ponctué joyeusement l’été 2018. Il s’annonce d’ailleurs encore plein de réjouissances avec SuperChance100 !
Votre avis sur notre FAQ
Si vous n’êtes pas un féru du web, vous ne le savez peut-être pas, mais le site internet de SuperChance100 dispose d’une FAQ, soit une foire aux questions. Pour la trouver, il vous suffit de passer votre souris sur l’onglet Le Concept et d’observer le menu déroulant. Elle se trouve au bas de celui-ci. Cliquez sur FAQ et vous trouverez certainement l’info qu’il vous faut pour jouer sereinement vos grilles pour tenter de gagner à l’Euromillions.
Quel « maneki-neko » pour viser l’Euromillions ?
Il n’a pas pu échapper aux férus de grigris, ce petit chat assis à la patte levée. Les collectionneurs de porte-bonheurs et les adeptes de jeux d’argent développent tous leurs astuces pour tenter de gagner à l’Euromillion. Celle-ci est plutôt mignonne et chargée d’histoire, qui plus est. Aujourd’hui, SuperChance100, votre site de jeu en communauté, vous en dit plus sur ce personnage assez répandu.
Le « maneki-neko », version japonaise de « chat porte-bonheur », est une statue nippone traditionnelle, faite de céramique ou de porcelaine. On en trouve dans les vitrines des magasins ou près des caisses des restaurants japonais, par exemple. « Maneki » est issu du verbe « maneku », qui signifie inviter, faire venir. Quant à « neko », il se traduit simplement par le mot chat. Remarquez que ce curieux spécimen fait un geste de salut typiquement japonais, paume vers le bas. Les Occidentaux le comprendraient davantage comme un au revoir, et pourtant…