Dans les jeux de chance tel que l’Euromillion, il existe quatre catégories de participants. La première regroupe ceux qui jouent sans vraiment y croire car, c’est bien connu, « ça n’arrive qu’aux autres », la deuxième englobe ceux qui y croient dur comme fer en y jouant toutes les semaines. La troisième catégorie est simplement nos grands chanceux qui gagnent le pactole. La quatrième est un peu plus particulière. Elle comprend les doubles gagnants ! Oui, oui, vous avez bien lu. Ils ne se contentent pas de gagner une fois mais deux ! Quel culot… Et s’ils détenaient le secret pour gagner à l’euromillion ?
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Quatre feuilles et un peu de chance
Enfants ou adultes, on partage un même souvenir : rester de longues minutes assis dans l’herbe à la recherche d’un trèfle à quatre feuilles ou « à quatre folioles » en terme botanique. Qu’est vraiment le trèfle de la chance ? Il s’agit en réalité d’une mutation du trèfle blanc. Alors que dans notre civilisation il est synonyme de porte-bonheur, les théories divergent…
Entre espérance ou richesse, amour ou charité, coup du hasard ou coup de chance, et si c’était le secret pour gagner à l’euromillion ?
En botanique
Selon les experts, trouver un trèfle à quatre feuilles dépend de plusieurs facteurs. Certains sols seraient plus favorables que d’autres, la saison serait également importante (de préférence, cherchez au printemps) ou encore la composition des terres… Il existe environ 10 000 trèfles à trois feuilles pour un trèfle à quatre feuilles…D’où l’impression de chance quand on en trouve un…
Dans la culture
Plusieurs hypothèses du trèfle se sont succédé au fil des années. Il contient un poison pour le Grec Sophocle, c’est un remède contre les morsures de serpents prétend le Romain Pline. Les druides, quant à eux, pensaient qu’il donnait un don de voir la présence de démons…
D’autres envisageaient que par sa forme en croix, il pourrait délivrer différentes vertus. Pour la tradition chrétienne les quatre feuilles représentaient la foi, l’espérance, la charité et la chance. D’un autre côté, pour la culture anglo-saxonne ils étaient équivalents de renommée, richesse, amour et santé.
En porte-bonheur
Le trèfle à quatre feuilles est aussi rentré dans la légende grâce à la marque d’automobile italienne Alfa Romeo. Affiché pour la première fois en 1923 sur la voiture du pilote Ugo Sivocci avant une course automobile en Italie. Alors qu’il été considéré comme « l’éternel deuxième », il a apporté à Alfa Romeo sa première victoire… Durant un autre course, des mois après, Ugo Sivocci meurt dans un accident alors que (coïncidence ?) sa voiture n’avait pas le fameux trèfle…
Le record du plus grand trèfle est détenu par le Japon avec cinquante-six feuilles récolté en 2009. L’histoire ne dit pas si son propriétaire est particulièrement chanceux…